Amélioration du bâtiment« Le brûlage des sols de l’aire d’attente pour prévenir les glissades »

Pour le Gaec du Rocher, exploitation située dans le Doubs, le brûlage était l’option la moins coûteuse, et aussi une technique qui n’attaque pas la structure du béton en profondeur.
Pour le Gaec du Rocher, exploitation située dans le Doubs, le brûlage était l’option la moins coûteuse, et aussi une technique qui n’attaque pas la structure du béton en profondeur. (© J.Pezon)

Le choix du décapage thermique du sol a permis de faire face à d’importants problèmes de glissade dans l’aire d’attente. Une amélioration à confirmer en été avec le phénomène de beurrage des sols.

Dans un bâtiment mis en service il y a trois ans, les associés du Gaec du Rocher étaient confrontés à des problèmes de sols très glissants dans l’aire d’attente (3 % de pente) du roto de traite. « Le roto a été mis en service en décembre 2018 et les problèmes de glissades sont apparus dès le printemps puis en été, explique Florian Renaud. Les fortes chaleurs pénalisent l’efficacité du raclage en générant un phénomène de beurrage qui transforme l’aire d’attente en véritable patinoire au point que certaines vaches refusaient de monter dans le roto. »

© J.Pezon - Le brûlage fonctionne avec un mélange de d’oxygène pur gazeux et de propylène liquide qui génèrent une flamme d’une température montant jusqu’à 600°c. De l’eau passe aussi dans la rampe pour refroidir les buses.

« Une option moins coûteuse que les tapis »

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