«ma femme et moi sommes arrivés sur cette exploitation en 2008, et l’ancien propriétaire avait déjà peu de matériel, car il confiait beaucoup de travaux à deux ETA locales, se souvient Hubert Lancelin, installé à Saint-Ellier-du-Maine dans le nord de la Mayenne. De mon côté, je ne suis pas non plus un passionné de tracteur. Nous avons donc maintenu cette stratégie en limitant les investissements et en confiant un maximum de prestations aux entreprises, notamment les récoltes, l’épandage, le travail du sol et le semis. » Depuis le départ, le Gaec du Jarry fonctionne avec seulement deux tracteurs achetés d’occasion : un Renault Ares 556 RZ de 95 ch de 2004 et un Case Luxxum 125 de 2019. Le premier est attelé presque en permanence devant le bol mélangeur. Il sert aussi à épandre l’engrais ou à faire les traitements avec le pulvérisateur, car sa voie correspond au bon écartement pour passer dans les cultures. Le second est davantage employé pour la manutention et le transport devant une remorque ou un plateau à paille.
« La délégation à l’ETA m’a évité d’investir »
En Mayenne, Hubert Lancelin et son épouse privilégient les prestations par ETA. Ce Gaec ne possède que deux tracteurs, principalement utilisés pour l’alimentation des animaux, la manutention et quelques travaux spécifiques.
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