PréventionLes mammites colibacillaires ne sont pas une fatalité

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Les mammites cliniques sévères, dites colibacillaires, sévissent particulièrement en période de fortes chaleurs. Seule parade : une vigilance accrue.

Ce lundi 18 juillet, Auriane Jost, vétérinaire du cabinet Filiavet’de Sélestat (Haut-Rhin) qui opère sur le centre Alsace, ne s’étonne plus. « Les analyses parlent d’elles-mêmes, c’est un vrai fléau. J’ai encore eu trois cas de mammites colibacillaires ce matin. » Rien de surprenant. Comme cette mammite est d’origine environnementale, elle peut se transmettre très rapidement de vache en vache. «  L’infection se propage en dehors de la traite », explique-t-elle. « Ce qui est surprenant avec ce genre de mammites, c’est que l’apparition de l’infection est très rapide, le temps d’une ou deux traites », poursuit la praticienne. Cependant, plusieurs éléments peuvent mettre les éleveurs sur la piste.

Le lait vire du blanc standard au gris, voire au jaune

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