Chaque année, l’âge au premier vêlage ne baisse que de quatre jours, soit un recul de 1,7 mois sur douze ans, selon Seenovia, dans les Pays de la Loire. Pour l’organisme de conseil, la quasi-absence de pesée aux étapes clés de la croissance des génisses (ou a minima l’utilisation du ruban barymétrique) est l’une des raisons de sa stagnation à 29 mois.
GénissesPiloter la croissance pour des vêlages à la carte

Malgré les messages techniques pour inciter à abaisser l’âge au premier vêlage des génisses à 24 mois, il reste à 29 mois, voire plus. Et si l’on inversait la problématique en fixant un âge répondant aux besoins de l’élevage, et de l’éleveur ?
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