BâtimentLoger plus de vaches sans se ruiner

À Gévezé (Ille-et-Vilaine), Jérôme Tondeux a fait des économies en optant pour un robot d’occasion ou pour une barre au garrot. Mais il a dû fermer complètement le bâtiment à cause de son orientation sud-ouest. © THIERRY PASQUET/SIGNATURES
À Gévezé (Ille-et-Vilaine), Jérôme Tondeux a fait des économies en optant pour un robot d’occasion ou pour une barre au garrot. Mais il a dû fermer complètement le bâtiment à cause de son orientation sud-ouest. © THIERRY PASQUET/SIGNATURES (©© THIERRY PASQUET/SIGNATURES)

La chute du prix du lait met en difficulté des récents investisseurs. D’autres se sont agrandis sans dégrader leur situation financière. Tour d’horizon des questions à se poser et des astuces à connaître pour ne pas déraper.

Les projets d’agrandissement de troupeaux impliquent très souvent la construction ou l’extension d’un bâtiment. Avec le risque de fragiliser l’exploitation si l’investissement pèse trop lourd. « Il existe d’importantes variations dans le prix des bâtiments. Elles s’expliquent souvent par le choix des options », commente Sébastien Guiocheau, spécialiste des bâtiments laitiers à la chambre d’agriculture de Bretagne. Le type de bâtiment a aussi un impact sur les charges en matière d’investissement comme de fonctionnement. Les chambres de Bretagne ont mis en place un référentiel des coûts d’investissement et de fonctionnement qui peut se révéler bien utile au moment de la réflexion (voir encadré page suivante). Dans le temps, on constate un accroissement des écarts pour un même poste. Et l’inflation est de 2 à 3 % pour les bâtiments et leurs équipements.

Améliorer le volume de lait par UTH et l’EBE pour 1 000 l

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