Très courant en agriculture biologique, le semis de prairies multi-espèces se généralise. En témoigne la part des semences fourragères en mélanges, qui représente 22 % du total des ventes de semences au cours des deux dernières campagnes. Cet engouement correspond à la recherche d’une plus grande autonomie, à la fois fourragère et protéique, mais aussi azotée. En effet, on estime qu’avec 25 % de trèfle au printemps, les besoins en azote de la prairie pâturée sont couverts.
PrairiesComposer le bon mélange multi-espèce

L’Association française pour la production fourragère a mis à jour son guide de préconisations conçu pour aider l’éleveur à composer un mélange prairial en cohérence avec son milieu et ses objectifs. La règle : pas plus de six espèces et de 30 kg de semences.
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