Les étourneaux, cauchemar des éleveurs de la Manche

Bavettes.  Dans son bâtiment fermé dédié aux génisses, Denis Lecoq a fixé une bavette sur la barrière qui s’adosse à la porte. Le racleur peut passer en dessous. Cette mesure contribue à empêcher les étourneaux de rentrer. C’est mission impossible en bâtiment semi-ouvert.C.H.
Bavettes. Dans son bâtiment fermé dédié aux génisses, Denis Lecoq a fixé une bavette sur la barrière qui s’adosse à la porte. Le racleur peut passer en dessous. Cette mesure contribue à empêcher les étourneaux de rentrer. C’est mission impossible en bâtiment semi-ouvert.C.H. (©C.H.)

Protéger. Au centre du département de la Manche, d’octobre à mars, 500 éleveurs subissent un dortoir de 600 000 étourneaux depuis dix ans. Protéger les silos de maïs et le distribuer le soir sont les seules mesures testées qui ont un effet.

En plein centre de la Manche, cinq cents éleveurs subissent depuis dix ans la présence des étourneaux d’octobre à mars. « Les nuisances se sont amplifiées d’année en année. Depuis cinq à six ans, nous vivons un enfer », confie Denis Lecoq, à la tête d’un troupeau de 180 vaches sur deux sites avec trois associés. Leur site de 120 vaches laitières est à proximité d’un dortoir de 600 000 étourneaux, à Baupte.

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