Les céréaliers vivent depuis longtemps au rythme des marchés à terme. Plus d’un les utilise pour assurer le prix de vente d’une partie de sa récolte à venir et sa marge. Dans le secteur des produits laitiers, les initiatives en ce sens ont pour l’instant toutes tourné court. La première date de 2010 : Eurex, plateforme installée à Francfort, en Allemagne, avait proposé des contrats de beurre et poudre. Sans grand succès.
Marché à termeDeuxième tentative de percée sur le lait

La dernière tentative d’installer un marché à terme des produits laitiers avait tourné court. La renaissance de la Bourse EEX en Allemagne le remet au goût du jour.
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