Grand reportage« Éleveur de génisses, j’ai réduit l’astreinte en restant dans la filière lait »

À Rouperroux-le-Coquet, dans la Sarthe, Cédric Landrein élève plus de 150 génisses laitières avec son salarié, en plus de 5 ses poulaillers de Loué
À Rouperroux-le-Coquet, dans la Sarthe, Cédric Landrein élève plus de 150 génisses laitières avec son salarié, en plus de 5 ses poulaillers de Loué (© C. FAIMALI / GFA)

Passionné de production laitière, Cédric Landrein s’est reconverti dans l’élevage de génisses pour être capable de faire face à la charge de travail au moment du départ à la retraite de ses parents. L’activité est encadrée par un groupement et une société de conseil.

Quand il s’installe aux côtés de ses parents en 2010, Cédric Landrein est un mordu de production laitière. Il a passé une année en Nouvelle-Zélande à traire des vaches au moins sept heures par jour, et il a adoré ça. Et puis, après l’installation, ses enfants sont arrivés. Et ses parents ont commencé à préparer leur retraite : une échéance en 2019 pour son père, 2021 pour sa mère. « Cela me faisait peur en matière de travail. Je ne voulais pas dépendre au quotidien de leurs coups de main après la retraite. Il fallait anticiper pour que mon système soit prêt au moment de leur départ. La crise du lait en 2016 m’a également fait réfléchir.»

© CEDRIC FAIMALI / GFA - Cédric Landrein, 40 ans, pilote sa ferme avec son salarié Olivier Berthelot, 40 ans.
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